Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
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Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Le traitement pour les patients atteints de diabète de type 1 est l’injection d’insuline pour compenser l’insuffisance de sécrétion de leur insuline endogène (environ 10% des patients).
Dans le cas du diabète de type 2, le traitement est constitué dans un premier temps de médicaments antidiabétiques qui améliorent l’activité de l’insuline produite par le pancréas du patient, ou qui augmentent la production d’insuline si celle-ci s’avère trop faible.
Dans les faits, près de la moitié des cas de diabète de type 2 évoluent vers une forme nécessitant l’administration d’insuline.
Les objectifs glycémiques sont tout d’abord fixés avec le médecin et dépendent de l’âge, du type de diabète, des maladies associées et du quotidien de la personne diabétique.
Les traitements proposés aux patients diabétiques ont beaucoup évolué ces dernières années, notamment en termes d’efficacité et de confort.
Il y a une vingtaine d’années, les diabétiques étaient déjà traités avec de l’insuline et effectuaient des contrôles de glycémie, mais les méthodes n’étaient pas adaptées, peu performantes et l’efficacité pas au rendez-vous. Or l’efficacité dans le diabète est de prévenir les complications à long terme.
Ce qui a été acquis au cours des dernières années est indiscutablement la maîtrise du traitement insulinique avec une efficacité acquise qui permet aujourd’hui d’affirmer que si on prend en charge un diabète très tôt dans la vie du patient, celui-ci a toutes les raisons de ne pas faire de complications.
Par contre, ce résultat d’efficacité est obtenu au prix d’une qualité de vie totalement inacceptable, avec des injections d’insuline et des contrôles sanguins de glycémie pluri-quotidiens.
Se débarrasser de toutes ces contraintes, est à l’évidence un des enjeux majeurs de la recherche actuelle.
Deuxième enjeu, mais qui va un peu de paire, c’est qu’aujourd’hui le diabétique doit encore maîtriser son traitement alors qu’il faudrait que celui-ci soit automatique.
En résumé, ce qu’attendent les patients, c’est qu’on leur propose un traitement sans injection et qui fonctionne tout seul.
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