Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
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Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Facteur de risque reconnu pour l’hypertension artérielle, les maladies cardiovasculaires, ainsi que pour certaines maladies comme le cancer de l’estomac, la consommation de sel est dans le collimateur des instances de santé depuis plusieurs années.
Il y a 12 ans, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) avait tiré la sonnette d’alarme et recommandé une baisse de 20% de sa présence dans notre alimentation.
À l’heure du premier bilan, le constat est mitigé. En effet, la diminution n’a atteint que 4 à 10% en moyenne par personne, pour une consommation aux alentours de 9 grammes par jour, contre les 5 grammes de préconisés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ou, au niveau national, par le PNNS (Programme National Nutrition Santé). Cette baisse serait en partie due aux démarches volontaires des industriels produisant les aliments préparés (charcuteries, fromages, pain, yaourts, conserves…), et qui représentent à eux seuls près de 87 % de nos apports en sel.
Face à ce constat, l’Anses recommande dans ses conclusions la mise en place d’actions complémentaires, le cas échéant réglementaires, visant à augmenter à la fois le nombre de produits concernés par les réductions de teneurs en sel et le niveau de celles-ci.
Parallèlement, l’Anses souhaite la poursuite des « actions de communication sur le long terme visant à favoriser tant la diversité alimentaire qu’une consommation raisonnable des aliments forts contributeurs à l’apport sodé ».
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