Vie pratique

Message de remerciement envoyé aux équipes du CeeD

Alain de Riorges

Printemps 2020 - Lettre n°33
#Activité physique

Chers Mesdames et Messieurs les chercheurs,

Je suis pré-diabétique et voudrais vous faire part de mon expérience tirée de la lecture de l’article du Dr Bouzakri, Directeur du laboratoire du Centre européen d’étude du Diabète, dans le magazine Sciences et Avenir. Fin 2018, devant une montée importante de mon hémoglobine glyquée (aux alentours de 9/10), mon médecin m’a prescrit de la metformine et de l’exercice physique soutenu. J’ai commencé en février de la marche et, suite à cet article, en avril 2019, la fréquentation quotidienne d’une salle de fitness (on peut se baser sur une moyenne de 6 jours sur 7) pendant 1h. Mes séances se déroulent toujours de la même manière : 20/25 min de cardio (vélo assis : 100 kcal) + 5/10 min de marche sur tapis (30 kcal). La demi-heure suivante est consacrée à 90% aux triceps (10% de « repos » intercalé avec des exercices sur les abdos). Compte tenu de mon âge (73 ans), je fais au moins, sur les appareils qui font travailler spécifiquement les triceps, 4/5 fois 30 tractions de 27kg (une minute entre chaque traction), coudes collés au corps et 4/5 fois 30 tractions sur un appareil assis qui permet de pousser les bras vers le bas, engageant ainsi les triceps et les pectoraux. Je ne saurai faire la part de l’action de la metformine et celle de l’exercice physique, mais j’ai perdu plusieurs kilos et me retrouve à 6,6 d’hémoglobine glyquée, m’évitant ainsi l’insuline. Je tenais à témoigner de cet exemple qui vous permettra peut-être de relier le volume d’exercice au taux de glycémie.

Bien amicalement

Alain de Riorges

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