Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
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Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Lucie Igersheim Diététicienne
Alors que le budget alimentaire français représentait 35% des dépenses de consommation en 1960, il n’est plus que de 20% en 2014, soit 3 600 € en moyenne par an et par habitant (soit un peu moins de 10€ par jour). En plus de cette diminution, la composition même du panier a changé avec une nette progression des produits transformés et des plats préparés. En corrélation avec ce constat, le temps consacré à la cuisine a également diminué. Parmi les premiers facteurs influençant l’achat alimentaire, les consommateurs citent le prix.
Diverses caractéristiques démographiques et socio-économiques montrent que les personnes ayant un faible revenu ont généralement une alimentation plus déséquilibrée.
La consommation de fruits et légumes est particulièrement concernée, alors que les pâtes ou le pain sont plus difficilement substituables et leur achat est peu affecté par les variations de prix.
Du fait de ces déséquilibres alimentaires, les déficiences nutritionnelles et les pathologies liées à la nutrition sont plus fréquentes.
En effet, les aliments dont il est conseillé d’augmenter la consommation pour préserver sa santé (fruits, légumes, poissons) sont chers (surtout si l’on calcule le prix en euros pour 100Kcal) alors que les produits gras et/ou sucrés apportent des calories à bon marché.
Cette relation positive entre prix et qualité de l’alimentation est expliquée par le fait que la structure de prix des denrées alimentaires est plutôt défavorable à l’équilibre alimentaire.
Plus on force le prix à baisser, plus la densité énergétique augmente, c’est-à-dire que les produits frais riches en eau sont délaissés au profit des produits secs ou raffinés, non périssables.
Néanmoins des modélisations visant à concevoir des rations respectant toutes les recommandations nutritionnelles pour le prix le plus bas possible montrent qu’il est possible d’avoir une alimentation équilibrée pour un petit budget.
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