Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
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Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
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Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Selon les chiffres récemment publiés par L’Assurance Maladie, le nombre de patients appareillés pour traitement de l’apnée du sommeil devrait dépasser le million en 2016 (contre 830 000 actuellement). Ce symptôme caractérisé par des pauses respiratoires répétées durant le sommeil, devrait toucher près de 5% de la population française selon les estimations de l’association BPCO –broncho-pneumopathie chronique obstructive. Aussi impressionnant et alarmant que soit le chiffre annoncé du million, on serait ainsi encore bien en-deçà de la réalité d’une pathologie largement sous-diagnostiquée.
La société française de recherche et de médecine du sommeil (SFRMS) indique quant à elle « qu’il est probable que 50% des apnéiques ne soient pas encore dépistés ».
De quoi faire frémir l’Assurance Maladie, qui estime à 1 milliard d’euros le coût de prise en charge pour 2016. Il n’existe pas de médicament pour traiter l’apnée du sommeil. Les équipes soignantes peuvent simplement proposer deux traitements mécaniques à leurs patients :
L’orthèse d’avancée mandibulaire (OAM), une sorte de gouttière moulée sur mesure par un dentiste, que le patient porte toute la nuit. En maintenant la mâchoire et la langue vers l’avant, elle facilite le passage de l’air.
La ventilation à pression continue qui s’opère via un masque relié à un appareil insufflant de l’air en continu par le nez et / ou la bouche et empêchant ainsi l’obstruction des voies aériennes.
Si la ventilation est l’option retenue dans la majorité des cas, elle est également la plus onéreuse. Aux vus des coûts de prise en charge et des récentes données épidémiologiques, l’Assurance Maladie espère pouvoir inverser la tendance au profit du traitement par OAM, économiquement moins lourd.
Encore faut-il que soignants et patients adhèrent…
Affaire à suivre, donc.
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