Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Professeur Michel Pinget, Strasbourg
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient d’éditer un document destiné à servir de guide à la pratique de l’activité physique afin d’améliorer la santé physique et psychique de chacun de nous.
En effet, entre quatre et cinq millions de décès pourraient être évités chaque année si la population mondiale était plus active physiquement.
À travers la mise en œuvre de son Plan d’action mondial pour promouvoir l’activité physique (2018- 2030), l’OMS encourage les pays à élaborer des politiques nationales de santé fondées sur des données factuelles.
L’activité physique régulière est un facteur de protection essentiel pour la prévention et la prise en charge de maladies non transmissibles comme les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 ou encore certains cancers. L’activité physique est en outre bénéfique pour la santé mentale, notamment en matière de prévention d’une baisse des fonctions cognitives et des symptômes de dépression et d’anxiété. Elle peut également contribuer au maintien d’un poids sain et du bien-être général.
Selon les estimations mondiales, 27,5 % des adultes et 81 % des adolescents ne respectent pas les recommandations fixées en 2010 par l’OMS concernant l’activité physique. Pratiquement aucune amélioration n’a été constatée au cours de la décennie écoulée.
Il existe par ailleurs d’importantes inégalités : dans la plupart des pays, les filles et les femmes sont moins actives que les garçons et les hommes. Il y a également des différences significatives de niveau d’activité entre les personnes appartenant aux groupes économiques plus favorisés et moins favorisés et d’un pays et d’une région à l’autre.
L’activité physique est bénéfique par au moins 2 mécanismes
intense, essentiellement en conditions aérobie (contenant du dioxygène), bénéfique sur le plan cardiovasculaire, respiratoire et métabolique (notamment pour le diabète).
Il existe schématiquement 2 types d’activité physique permettant d’obtenir les bénéfices de l’activité physique, chacun sur un mécanisme propre :
Retrouvez, dans les prochains numéros de la lettre, les recommandations pratiques de l’OMS en fonction de l’âge et des pathologies.
En utilisant ce site, vous acceptez que les cookies soient utilisés à des fins d'analyse. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter nos Mentions légales .
Close