Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
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Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Banting (à droite) et Best (à gauche) posent avec Marjorie
A l’instar des chiens guides d’aveugles, certains chiens seraient aujourd’hui spécialement dressés pour accompagner les patients diabétiques et les prévenir avant leurs crises d’hypo ou d’hyperglycémie.
Différentes études scientifiques ont déjà conclu par le passé que vivre au côté d’un chien permet d’être en meilleure santé et moins touché par certaines maladies en particulier cardiovasculaires. Cette hypothèse pourrait s’expliquer notamment par l’activité physique régulière imposée par les promenades et jeux faits avec l’animal. Mais aussi par la démultiplication des contacts avec autrui, qui peut rendre les propriétaires socialement plus actifs.
Les chiens, ayant un odorat fortement développé, seraient en capacité de sentir et ainsi d’avertir en cas de grandes variations de glycémie avant même que le patient ne ressente physiquement les symptômes de l’hypo ou de l’hyperglycémie. En aboyant plus de vingt minutes avant une crise et avant même que le capteur n’ait averti le patient, le chien pourrait permettre à son propriétaire de bénéficier de plus de temps pour réagir et adapter son traitement en conséquence, cela de jour comme de nuit. Un avertissement salvateur en particulier pendant le sommeil au cours duquel le patient risque de ne pas ressentir les symptômes annonciateurs de l’hypoglycémie.
Les odeurs corporelles variant d’une personne à l’autre, ces chiens d’ « assistance médicale » ne pourraient accompagner qu’un seul et unique maître. Dressé pendant plusieurs mois par un spécialiste du domaine, il faudrait également créer un lien fort entre le chien et son maître pour qu’ils puissent réagir ensemble lors des variations de la glycémie.
Lors du dressage, le propriétaire et le dresseur devraient par ailleurs réfléchir à la meilleure des manières pour le chien d’avertir le patient.
Bien que pleine de promesses et de potentiel, cette solution reste très complexe, onéreuse et finalement pas totalement fiable.
C.M.
Sources : le Figaro / Futura
1921 : Le Pr Nicolae Paulescu a découvert l’insuline en démontrant qu’une substance produite par le pancréas, l’insuline alors appelé « pancréïne », permet de réguler le taux de glycémie dans le sang. Pour arriver à cette conclusion, le chercheur roumain a isolé la « pancréïne » avant de l’injecter à des chiens devenus diabétiques suite à l’ablation du pancréas. En raison des effets secondaires et des résultats variables, aucun essai chez l’Homme n’avait été réalisé. Cependant c’est bien la publication de ses travaux qui a ouvert la voie à toutes les avancées suivantes.
1922 : Les chercheurs canadiens Frederick Banting et John James Richard Macleoud ont pu réaliser la première injection d’insuline à un patient.
1923 : L’insuline est produite de manière industrielle à des fins thérapeutiques.
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