Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
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Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
De nombreux métiers restent aujourd’hui encore limités voire interdits d’accès aux personnes diabétiques. De même, un diabète peut ralentir l’évolution professionnelle. Pour faire bouger les lignes et mettre fin à cette situation jugée discriminante, l’Aide aux Jeunes Diabétiques (AJD) et la Fédération Française des Diabétiques (FF D) se mobilisent conjointement et invitent tous les français à soutenir leur combat, en signant une pétition en ligne sur www.jefaisunvoeu.fr. Le vœu que chaque diabétique puisse demain choisir le métier de ses rêves !
Dans les faits, aujourd’hui, un jeune diabétique ne peut pas devenir marin, pompier, policier, pilote, contrôleur SNCF ou encore faire l’école des Mines, principalement en raison des risques de complications à court terme (hypoglycémies) et long terme. De même, des patients témoignent être encore régulièrement victimes de pressions ou de licenciements abusifs, et stagner dans leurs perspectives d’évolution de carrières.
Des situations jugées intolérables et d’autant plus injustes que la plupart des interdictions reposent sur des textes anciens ne tenant absolument pas compte de l’évolution de la prise en charge des patients d’une part (nouveaux traitements, outils de contrôle glycémique plus performants, développement de l’éducation thérapeutique…) et des conditions de travail d’autre part.
Pour les associations, et surtout les patients qu’elles représentent, ces interdictions sont aujourd’hui complètement archaïques et signes que le diabète souffre malheureusement aujourd’hui encore de nombreuses idées reçues et d’une relative méconnaissance, dont les conséquences peuvent être dramatiques. Sentiment d’exclusion, obstacle à l’épanouissement social, rejet de la maladie et refus du traitement…
Face à cela, une mobilisation des acteurs politiques est nécessaire et la pétition actuellement en cours devrait permettre, dans cette période préélectorale, d’attirer l’attention et d’alerter les consciences, afin d’obtenir des engagements fermes sur l’actualisation de la réglementation actuelle. Les associations demandent ainsi que chaque cas puisse demain être étudié par des commissions paritaires fédérant l’ensemble des acteurs (professionnels, médecins, experts scientifiques, associations de patients), afin d’évaluer de manière parfaitement objective et impartiale :
Car le diabète est une maladie chronique et non un handicap, et il y a autant de diabètes que de patients diabétiques. Il ne s’agit donc pas de prendre des risques ou de mettre des personnes en danger, mais d’avoir une approche plus juste et plus individualisée.
Le 27 janvier 2017, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a reconnu que les « textes d’aptitude ne correspondent pas à la réalité médicale et à la réalité des soins » et a précisé que « le gouvernement était favorable à ce que ces textes évoluent ». Les associations poursuivent néanmoins leur mobilisation et attendent les actes.
Pour soutenir cette initiative, des patients ont apporté leurs témoignages. Le résultat est éloquent !
Pour visionner leurs vidéos et leur apporter votre soutien : www.jefaisunvoeu.fr
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