Au service du patient via des activités de : recherche en laboratoire, valorisation avec la création de start-up, télémédecine, prévention & dépistage, formation & congrès
Face à ce défi, le CeeD et l’Université de Strasbourg unissent leurs efforts
Laboratoire de recherche translationnelle, le CeeD associe médecins et chercheurs
Les travaux de recherche de l’équipe du CeeD s’orientent autour de grandes thématiques, qui connaissent aujourd’hui de réelles avancées
Chaque année, le CeeD fait appel à des experts scientifiques pour évaluer, valider et orienter les projets de recherche
Retrouvez les publications de l’ensemble de l’équipe du CeeD
Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
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Maladie silencieuse et indolore, une réelle épidémie mondiale.
Antonin a 15 ans et habite à Hyères les Palmiers. Il est atteint de la mutation du gène de GNAS* et a développé un diabète de type 1 en octobre 2018. Il porte aujourd’hui une pompe à insuline. Durant les fêtes, il a eu la chance de partir en voyage à New York avec ses parents et d’y faire un « food tour », c’est-à-dire un circuit de découvertes culinaires et dégustations, entrecoupées de marche pour rejoindre les différents restaurants. Il nous raconte son expérience.
Julie, mon infirmière ASDIA et le docteur Khoury, mon pédiatre, nous ont bien aidés pour la préparation du voyage. Julie nous a conseillé sur le matériel à emmener et nous a donné beaucoup de conseils. Du coup, ma famille et moi étions sereins pour ce séjour de l’autre côté de l’Atlantique. Avec papa nous avons fait un sac avec tout le matériel nécessaire pour une semaine et même un peu plus au cas où (cathéters et réservoirs en plus…). On avait aussi prévu une pompe et un lecteur de rechange.
Non, le décalage horaire n’a pas été une source de problèmes car nous sommes arrivés à New-York à 13h et j’ai aussitôt réglé ma pompe sur l’heure américaine comme Julie me l’avait conseillé. Je n’ai pas eu d’hypoglycémie le jour de mon arrivée.
J’ai très bien géré mon diabète lors de ce séjour. Car malgré la nourriture parfois très calorique et sucrée, je n’ai quasiment pas fait de « Bolus ». Cela s’explique probablement parce que je marchais beaucoup. Par moment, j’en oubliais même mon diabète !
Ce voyage m’a apporté beaucoup de bonheur, d’émerveillements et de plaisir. J’ai découvert l’Amérique et c’est vraiment grandiose, incroyable, immense. Oui, j’aimerais faire plein d’autres voyages, surtout en Asie pour découvrir ce continent. Et surtout pour voir ce que donne mon diabète avec une nourriture différente.
Ce n’est pas parce que nous sommes diabétiques que nous ne pouvons pas parcourir le monde. Les voyages sont même bénéfiques pour ceux qui, comme moi, ont le diabète de type 1.
*Ce gène GNAS est normalement exprimé dans plusieurs tissus et organes chez l’Homme. La mutation (c’est-à-dire la modification de la qualité de l’expression) de ce gène est rare et peut se traduire par une croissance anormale des os (ostéodystrophie), le syndrome de McCune-Albright (obésité, diabète…) ou encore différents dysfonctionnements thyroïdiens.
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